Une intersyndicale désormais élargie à partir d’un socle construit à l’initiative de la FSU, avec la CGT, FO et Sud Éducation, appelle à la grève le jeudi 1^er février. Gabriel Attal communiquait tout azimut pour distraire l’opinion publique et capter l’attention de la frange conservatrice de l’électorat. Pendant ce temps, les personnels vivent un quotidien toujours dégradé… La ministre qui lui succède, Amélie Oudéa-Castéra, démarre sur les chapeaux de roues en accumulant des déclarations totalement insupportables et hostiles au service public laïc d’éducation.
Classes toujours surchargées, promesses salariales non tenues, crise de recrutement qui persiste, précarité des AESH, vies scolaires sous tension…
Emmanuel Macron en remet une couche avec des déclarations totalement hors sol et non budgétisées.
Pendant ce temps, en toile de fond, le ministère avance ses pions pour mener, au pas de charge, des réformes structurelles rétrogrades qui contribuent à affaiblir toujours plus l’ambition d’une École émancipatrice pour tous les élèves avec des personnels d’un haut niveau de qualification.
Cela suffit ! Le SNES-FSU pousse à la construction d’un mouvement massif et durable... De ce fait, le 1^er février ne doit pas être perçu comme une grève sans lendemain mais l’amorce d’un mouvement progressif qui doit amener la profession à réagir dans la durée !

Vous trouverez ici le lien vers le communiqué de presse intersyndical :

et le tract

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